On ne change pas le prix d’un produit, mais la quantité est réduite. La chroniqueuse Stéphanie Grammond appelle cette technique le syndrome du pot de Nutella.
On diminue de façon lente et périodique le volume du contenant ou on met moins de biscuits dans la barquette.
Un stratagème que les banques canadiennes et les fournisseurs de services Internet ont adapté à leurs propres industries.
Les clients d’une institution financière doivent payer des frais mensuels plus élevés pour conserver un nombre de transactions données dans leur compte.
Des abonnés d’une entreprise qui fournit des services Internet paient plus pour chaque gigaoctet supplémentaire utilisé.
Une façon de faire grimper leur facture.
Que peut-on faire pour contrer ces pratiques? Maryse Jobin fait le tour de la question avec Stéphanie Grammond, chroniqueuse à La Presse et spécialiste en consommation, finances personnelles et marchés financiers.
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Le syndrôme du pot de Nutella (Stéphanie Grammond La Presse)
Agence de consommation en matière financière du Canada (Outil de sélection d’un compte)
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