La peintre Raphaëlle Séguin, accro au bonheur, verra ses oeuvres présentées au Salon international d’art contemporain de Paris

« Ça fait à peine un an et demi, deux ans que mes toiles sont vraiment présentées un peu partout dans le monde, dont une dizaine de galeries au Canada et aux États-Unis. Même qu’on doit se résoudre à refuser des demandes parce que je n’arrive plus à fournir … Je suis vraiment chanceuse de tout ce qui m’arrive en ce moment.»

Raphaëlle Séguin, peintre

Quand vous l’entendez parler, vous avez l’impression qu’elle est à peine sortie de l’adolescence. Par contre, la jeune demoiselle vibre dans la fin de la vingtaine.

Raphaëlle Séguin est accro au bonheur, sous toutes ses formes.

Est-ce qu’une histoire de peintre qui réussit doit absolument passer par la douleur, les déchirures et le mal-être? Raphaëlle Séguin est la preuve vivante que ce n’est pas un prérequis à la carrière.

Après des études en arts plastiques et un diplôme en design de présentation, Raphaëlle plonge, cœur en premier, dans son monde ludique, mais tout de même très sérieux, de la peinture.

Elle adore mêler le côté ludique à certains portraits qui portent parfois des traits plus sérieux. Elle tente d’offrir aux gens une bouffée d’air frais, un instant de folie, de légèreté, et leur faire décrocher un sourire.

 « Si les gens arrivent devant une de mes œuvres et qu’ils peuvent vivre un instant de bonheur, je serai comblée. »

Et tout déboule à  grande vitesse

Un été à peindre sans arrêt, un portfolio envoyé aux galeries, un rappel et une signature de représentation et une invitation à présenter certaines de ses œuvres lors de la 18^e édition du Salon international d’Art contemporain dans le Carrousel du Louvre du  21 au 23 octobre.

Raphaëlle Séguin est l’invitée au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez