Ce n’est pas la première fois que l’Alberta, plus grande province productrice de pétrole au pays, se retrouve dans le rouge.
Lors de la crise économique de 2008-2009 cette province avait vu ses revenus dégringoler et son gouvernement priver de revenus importants lorsque le prix du pétrole a chuté.
Les plus vieux se souviendront d’une situation similaire après la crise du pétrole à la fin des années 70 et le début des années 80.
Mais aujourd’hui la situation est différente car l’Alberta est une province plus populeuse.
Elle doit pouvoir offrir des services adéquats à ces citoyens tout en tentant de diversifier son économie qui carbure principalement au gré du prix du baril de pétrole but.
Mais que peut faire le gouvernement néo-démocrate de Rachel Notley que n’ont pas réussi à faire les gouvernements conservateurs précédents qui se sont succédé au pouvoir en Alberta pendant plus de 40 ans ?
C’est une des questions que Maryse Jobin a posées à Frédéric Boily, professeur de science politique à la Faculté St-Jean de l’Université de l’Alberta.
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