Sparte, ville libre, a été l’une des plus grandes puissances de l’Antiquité pendant environ 200 ans, soit du VIIe au Ve siècle avant l’ère moderne.
Dominant tout le sud du Péloponnèse, Sparte était surtout connue pour la rigueur des entraînements militaires qu’on faisait subir aux jeunes garçons.
Dès 7 ans, l’enfant quitte le foyer familial et s’en va vivre dans une académie militaire où on le gave d’une éducation stricte et quasi militaire. Une façon de vivre qui a donné l’adjectif « spartiate » à notre langue.
D’ailleurs, en 1928, Adolf Hitler écrit que Sparte est le modèle du Troisième Reich à venir en tant que « premier État raciste » de l’histoire et archétype de l’État aryen.
Ça, c’est pour l’histoire, il y a aussi le roman de la chute de Sparte.
Source : Leméac éditeur, 2011
Et maintenant le film
L’auteur du roman, le musicien, compositeur et chanteur Biz, racontait son roman à venir à son grand ami Tristan Dubois un soir d’hiver, après un match de hockey à la télé accompagné de quelques bières.
Immédiatement, enfin presque, le cinéaste voit les images se dessiner.
Après avoir lu le roman, il lance l’idée à Biz qui plonge dans l’aventure. Les deux compères mettent quelques années à extraire un scénario.
Ténacité, coopération et passion
Le vendredi 1er juin, le long métrage La chute de Sparte prend l’affiche au Québec.
« Chaque ado qui termine son secondaire est un authentique héros grec qui achève une quête, comme Ulysse revient à Ithaque après 20 ans d’aventures harassantes. Avec le cégep qui commence, le meilleur est devant pour les torturés du secondaire. Il y a donc de l’espoir après La chute de Sparte. »
Biz et Tristan Dubois.
Tristan Dubois raconte.
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