Du 11 au 15 février, place aux Journées de la persévérance scolaire

L’événement phare de février est, bien sûr, le Mois de l’histoire des Noirs.

Février, comprend aussi la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (6), la Journée internationale des femmes et des filles de sciences (11), la Journée mondiale de la radio (13) et la Journée mondiale de la justice sociale (20).

De façon ludique, février, c’est aussi le Carnaval de Québec et Montréal en Lumières.

Et il y en a beaucoup d’autres.

Cela dit, février, c’est aussi le mois au cours duquel se tiennent les Journées de la persévérance scolaire.

Pourquoi de telles journées?

En se penchant sur les données les plus récentes du Rapport sur la santé des jeunes Montréalais à risque élevé de décrochage scolaire, celles de 2016-2017, on peut y lire que dès la sixième année du primaire, la dernière de ce cycle d’études, préparatoire à l’entrée au secondaire, près de 5 % des élèves sont identifiés comme étant « à haut risque » de décrochage.

Et, cette proportion va en croissant, atteignant les 15 % au secondaire.

Nos gestes un + pour la réussite

Ce thème de l’édition de cette année ouvre la porte à des actions concrètes, conjointes et concomitantes qui, par leur addition, peuvent faire une réelle différence dans la réussite des jeunes et dans le développement de leur plein potentiel.

Des axes importants

Quand on décortique les données, on note et c’est presque une évidence, que la persévérance des jeunes à l’école passe par la motivation et par l’encadrement, mais aussi par des facteurs environnants qui doivent être pris en compte, notamment la santé et l’état de pauvreté familiale

Le porte-parole des Journées de la persévérance scolaire édition 2019 est le garde offensif des Chiefs de Kansas City au football américain, Laurent Duvernay-Tardif, qui est aussi médecin.

Les Journées de la persévérance scolaire se tiennent du 11 au 15 février. On y propose quelque 1100 activités.

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