À la puberté, une fille sur deux abandonne le sport. Et lorsqu’elles arrivent à la fin du secondaire, 90 % d’entre elles perdent presque tout intérêt pour l’activité physique.
Un constat alarmant surtout à l’ère où les réseaux sociaux occupent une grande place dans la vie de ces jeunes.
C’est pour redonner aux filles le goût de bouger que Claudine Labelle a fondé en 2007 Filleactive, un organisme à but non lucratif présent dans plusieurs écoles, d’abord au Québec puis en Ontario.
Un espace dans lequel elles ne sont pas soumises à des pressions de performance.
« Faire en sorte que dans le contexte où elle va bouger qu’elle ne sente pas qu’elle a la pression d’être en compétition. Donc, elle peut être elle-même, elle peut respecter son propre niveau. »
Claudine Labelle, présidente et fondatrice de Fillactive, explique à Maryse Jobin comment un professeur à la fin du secondaire l’a convaincue de recommencer à faire du sport.
ÉcoutezDepuis sa création, l’organisme Fillactive a mobilisé 150 000 adolescentes.
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