Un nouveau projet de recherche sur l’Arctique se demande s’il est trop tard pour le climat

L’ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) Jean-Pascal van Ypersele participe à la conférence Espoirs sur fond de désespoir climatique, présentée à Montréal, au Canada. (Jean-François Michaud / Radio-Canada)
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a profité de sa participation à la conférence « Espoirs sur fond de désespoir climatique » pour faire un détour les studios de Radio-Canada en compagnie de Philippe Gachon, professeur à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et chercheur au Centre pour l’étude et la simulation du climat à l’échelle régionale (ESCER), à Montréal.

Ensemble, ils collaborent à un nouveau projet de recherche destiné à évaluer les répercussions des changements climatiques dans l’Atlantique Nord et l’Arctique. Ils s’intéressent entre autres aux effets de ces changements sur les populations et les écosystèmes.

Au micro des Années lumière, ils s’inquiètent également de la baisse, au Canada et aux États-Unis, du financement de la recherche sur le climat.

Entrevue avec les deux chercheurs

Jean-Pascal van Ypersele, professeur de climatologie et des sciences de l’environnement à l’Université catholique de Louvain, en Belgique

Philippe Gachon, professeur régulier au Département de géographie de l’UQAM

Écoutez

Chantal Srivastava, Radio-Canada

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