Entre mythes et réalités, préjugés et tolérance, où se situe la réalité des immigrants?
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avril 2017

Le gouvernement fédéral canadien veut découvrir si le fait de cacher les noms des personnes postulant pour des emplois dans la fonction publique améliorera ses pratiques d'embauche et favorisera la diversité et l'inclusion. La nouvelle pratique consistera à retirer des formulaires de demande d’emploi les noms et autres informations permettant l’identification des candidats, comme l’adresse courriel et le pays d’origine, afin de combattre les préjugés à l’endroit des gens de différentes origines, notamment les nouveaux arrivants. La méthode sera testée sur des offres d’emploi affichées à l’externe par six ministères fédéraux, dont

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Le 10 janvier dernier, le député libéral Ahmed Hussen de la circonscription de York Sud-Weston à Toronto était nommé titulaire du ministère de l'Immigration. Une première au Canada, c’était la première fois qu'un député d'origine somalienne est nommé au sein du Cabinet. C’était aussi une première quand il a été élu, première fois qu’un Somalien d’origine représentait une circonscription fédérale canadienne. Ahmed Hussen est arrivé au Canada à l’âge de 16 ans en tant que réfugié, alors qu’il fuyait la guerre qui faisait rage en Somalie. L'homme de 39 ans a été très actif au

Sondage - La maison CROP a pris le pouls des Canadiens sur leur ouverture face aux immigrants et aux réfugiés, ainsi que sur leurs perceptions des musulmans. Résultat : nous sommes généralement accueillants… mais aussi méfiants. Explications. Par Gaétan Pouliot et Melanie Julien Construit sur l’immigration, le Canada est l’un des pays les plus multiculturels de la planète. Lors du recensement de 2011, un Canadien sur cinq était immigrant, un sommet depuis 1931. Et cette proportion continue d’augmenter. Nous avons accueilli un peu plus de 320 000 immigrants l’an dernier, un nombre record pour

Melissa Mollen Dupuis chroniqueuse pour le site de Radio-Canada, Espaces Autochtones a répondu aux questions de Raymond Desmarteaux au sujet de la perception des immigrants par les Autochtones. Une réponse toute en nuances qui nous ramène aux valeurs de solidarité des Premières Nations. Melissa Mollen est également une activiste. Elle est la cofondatrice du mouvement Idle No More au Québec, qui fait la promotion d'une « révolution pacifique » afin qu'on entende les voix des Autochtones, qu'on reconnaisse la souveraineté des nations autochtones sur leurs territoires et qu'on améliore la protection de l'eau,

20% de la population canadienne est née à l’étranger. C’est dire qu’une personne sur cinq se reconnait dans cette statistique. En cinq ans, de 2006 à 2011, plus d’un millions de personnes nées ailleurs sur Terre ont immigré au Canada. En pourcentage, c’est donc dire que cette immigration récente 17,2% de la population née à l'étranger et 3,5 % de la population totale du Canada. if("undefined"==typeof window.datawrapper)window.datawrapper={};window.datawrapper["nAPaT"]={},window.datawrapper["nAPaT"].embedDeltas={"100":766,"200":612,"300":543,"400":526,"500":500,"600":500,"700":500,"800":483,"900":483,"1000":483},window.datawrapper["nAPaT"].iframe=document.getElementById("datawrapper-chart-nAPaT"),window.datawrapper["nAPaT"].iframe.style.height=window.datawrapper["nAPaT"].embedDeltas[Math.min(1e3,Math.max(100*Math.floor(window.datawrapper["nAPaT"].iframe.offsetWidth/100),100))]+"px",window.addEventListener("message",function(a){if("undefined"!=typeof a.data["datawrapper-height"])for(var b in a.data["datawrapper-height"])if("nAPaT"==b)window.datawrapper["nAPaT"].iframe.style.height=a.data["datawrapper-height"][b]+"px"}); Un kaléidoscope ethnique Le Canada aujourd’hui, c’est plus de 200 origines ethniques (Enquête nationale auprès des ménages, ENM, de 2011). if("undefined"==typeof window.datawrapper)window.datawrapper={};window.datawrapper["CIDlZ"]={},window.datawrapper["CIDlZ"].embedDeltas={"100":626,"200":506,"300":440,"400":440,"500":440,"600":400,"700":400,"800":400,"900":400,"1000":400},window.datawrapper["CIDlZ"].iframe=document.getElementById("datawrapper-chart-CIDlZ"),window.datawrapper["CIDlZ"].iframe.style.height=window.datawrapper["CIDlZ"].embedDeltas[Math.min(1e3,Math.max(100*Math.floor(window.datawrapper["CIDlZ"].iframe.offsetWidth/100),100))]+"px",window.addEventListener("message",function(a){if("undefined"!=typeof a.data["datawrapper-height"])for(var b in

Près d’un Canadien sur deux sera un immigrant ou un enfant d’immigrant en 2036. Toujours en 2036, les trois grandes agglomérations canadiennes que sont Toronto, Montréal et Vancouver accueilleront la très grande majorité de la population immigrante au Canada. Cette réalité sera encore plus présente à Toronto. Dans une moindre mesure, les villes de Hamilton, Winnipeg, Calgary Edmonton et Ottawa verront augmenter leurs populations immigrantes. [caption id="attachment_124730" align="alignleft" width="225"] Jean-Dominique Morency(Statistiques Canada)[/caption] L’étude de Statistiques Canada intitulée « Regard sur l’immigration, la diversité ethnoculturelle et les langues au Canada, 2011 à 2036 » était rendue

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Lors du recensement de 2011, plus de 200 langues ont été déclarées comme langue parlée à la maison ou comme langue maternelle. Près de 6,6 millions de personnes ont déclaré parler une autre langue que le français ou l'anglais à la maison.   Langue parlée à la maison et langue parlée de façon régulière 4,7 millions de ont déclaré parler une autre langue que le français ou l'anglais le plus souvent à la maison et près de 1,9 million de personnes ont déclaré parler ces langues de façon régulière, comme seconde langue (en plus