Thomas Ribeiro n’a que 15 ans, un esprit scientifique, une conscience aiguë de son environnement et des idées plein la tête.
« Super Plant »
Il n’en fallait pas plus pour que le jeune homme se mette au travail. Ses réflexions et ses recherches l’ont amené à concevoir une « super usine » capable de diminuer les gaz à effet de serre tout en répondant aux besoins énergétiques.
Son modèle, conçu sur les bancs d’école, a été testé à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) avec l’aide d’un microbiologiste, devenu son mentor.
L’idée de Thomas est simple, il suffit de se servir de bactéries qui consomment le méthane, et de végétaux qui dégradent le CO2 et de leur fournir les conditions gagnantes pour éliminer ces gaz à effet de serre.
En plus d’ainsi créer une nouvelle source d’énergie, ce procédé est bon pour l’environnement.
Le jeune homme n’en finit plus d’être récompensé pour ce projet.
En avril, il a remporté le premier prix lors de la Super Expo-sciences Hydro-Québec, finale québécoise 2016. Outre le prix il s’assure d’une participation à l’Expo-sciences internationale du MILSET au Brésil en août 2017.
Après avoir remporté le premier prix de l’édition québécoise du concours Sanofi Biogenius Canada, en avril, il est allé présenter ses travaux à un panel de scientifiques dans le cadre cette fois du concours national de Sanofi Biogenius.
Il représentera le Canada du 8 au 13 mai à Phoenix, en Arizona, lors du Intel International Science and Engineering Fair (Intel ISEF), un concours de science et de génie.
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