En 2014, il n’y avait pas beaucoup de choix pour les musulmans voulant respecter leurs rites funéraires.
Ayant fait des démarches infructueuses auprès du seul cimetière musulman de l’époque situé à Laval, en banlieue de Montréal, Hadjira Belkacem décide de se tourner vers une entreprise funéraire installée au Québec depuis longtemps pour négocier l’ouverture d’un espace de sépulture musulman.
Au même moment, elle fonde l’Association de la Sépulture musulmane au Québec, dont elle est présidente.
Sur son site web, l’association se décrit comme un organisme indépendant à but non lucratif, qui offre de l’information aux personnes qui veulent se faire enterrer selon les rites musulmans.
Maryse Jobin a d’abord voulu savoir ce qui a motivé Hadjira Belkacem à se tourner vers des entreprises funéraires reconnues comme Magnus Poirier.
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Association de la Sépulture musulmane au Québec
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