Fils de berger, né en 1949 dans un village de Kabylie en Algérie, Idir a propulsé la culture kabyle sur la scène mondiale avec une chanson devenue un hymne à sa communauté. A Vava Inouva est devenu un succès planétaire, repris par plusieurs, chanté dans une quinzaine de langues et incontournable dans tous ses spectacles.
Toutes ses chansons ont d’ailleurs une portée universelle; ses textes parlent de paix entre les cultures, d’exil, d’amour, de liberté et des souvenirs. Alors qu’il vient de faire paraître un sixième album en près de 40 ans de carrière, NEVEO, Idir débarque au Québec dans le cadre du Festival de musique du Maghreb.
Idir en entrevue à Radio-Canada International avec Anne-Marie Yvon.
ÉcoutezMontréal le 15 mars, Québec le 16 mars, deux dates, deux salles combles !
Idir ne passe pas inaperçu lorsqu’il vient au Québec. Ses visites sont rares – il était venu en 2008 pour l’ouverture officielle du Festival International Nuits d’Afrique, dont il était le parrain – et très attendues. Si la diaspora kabyle est au rendez-vous, il a su rallier tous les autres, ceux pour qui sa poésie est universelle et sa musique transcendante. L’homme est un artiste incontournable de la World Music et un musicien accompli.
Outre la guitare, il intègre abondamment les instruments traditionnels: t’bel, mandole, flûte à bec, banjo, bendir, comme dans cet extrait de la pièce Saïd oulamara tirée de son nouvel album NEVEO, une chanson qui nous convie à la fête en Kabylie.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=p6i0MTpkBvs
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