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Les rites funéraires s’adaptent aux changements de la société québécoise

Pendant longtemps les rites funéraires au Québec se classaient principalement dans trois catégories : ceux des chrétiens, des protestants et des juifs.

Depuis plusieurs années on assiste à un abandon des rites sacrés vers des pratiques moins religieuses. Un changement qui force les salons funéraires à s’ajuster.

Au même moment, ce qu’on appelle «l’industrie de la mort» s’adapte à la présence de plus en plus importante de Québécois nés ailleurs et qui pratiquent d’autres religions.

Comment ses deux grands courants changent-ils l’univers des entreprises funéraires et leur façon d’approcher cette nouvelle clientèle ?

Éléments de réponse avec Jean-Marc Charron au micro de Maryse Jobin

Écoutez

Jean-Marc Charron est directeur du Centre d’étude des religions de l’Université de Montréal (CÉRUM). Il est professeur titulaire à la Faculté de théologie et de science des religions.

À une époque la majorité des morts au Québec étaient mis en terre. Aujourd’hui on estime que la crémation est utilisée dans 90 % des cas.

Catégories : Société
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