Une vingtaine de représentants étrangers sont de passage dans l’Ouest canadien cette semaine pour en apprendre davantage sur la production de blé dur.
Ils participent au Programme international sur le blé dur, organisé par l’Institut international canadien des céréales (CIGI), qui organise des conférences, des séances en laboratoire, des visites sur le terrain et des démonstrations de traitement du blé dur canadien.
Les participants représentent diverses organisations en provenance, entre autres, de l’Algérie et du Maroc, de la Colombie et du Pérou, de Cuba, du Portugal, de la Corée du Sud et des États-Unis.
« Le programme offre aux consommateurs venant de l’étranger une meilleure compréhension du blé ambre dur de l’Ouest canadien et de sa transformation en pâtes et en autres produits. »— Earl Geddes, PDG Cigi
Le séminaire inclut des cours sur la sélection des grains, la production, le transport, le marketing, et la transformation du blé.
La première partie de la visite était constituée de présentations techniques ainsi que d’une tournée de champs de production près de Winnipeg au Manitoba.
La délégation s’est ensuite rendue en Saskatchewan pour visiter le Centre de développement des cultures de l’Université de la Saskatchewan et une ferme céréalière de la région de Saskatoon.
Le groupe se rend ensuite en Colombie-Britannique afin de visiter un terminal à grains et le port de Vancouver.
Les besoins du Maroc
Un représentant du Maroc, Olivier Pioux, dit participer au programme afin de faire connaître les besoins de son pays aux producteurs canadiens.
Les Marocains consomment 700 000 tonnes de blé dur par année, dont 95 % proviennent du Canada.
RCI avec Radio-Canada
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