Karim Jallal, Raphaël Lacaille et Dominic Quarré interprètent trois gars dans la vingtaine qui se cherchent une place au soleil, dans le film d'Onur Karaman, «La Ferme des humains».
Photo Credit: Karaman Productions

La jeunesse banlieusarde en vedette dans «La ferme des humains»

Si le film dépeint la banlieue de manière très réaliste, il cherche aussi à montrer les conditions dans lesquelles les jeunes immigrants vivent en sol québécois.

Originaire d’Istanbul, en Turquie, Onur Karaman réalise son premier long métrage de fiction dans lequel il cherche à exprimer sa vision du monde qui, selon lui, ne va pas en s’améliorant.

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Synopsis

Karim, un immigré marocain, et J-P, qui gagne sa vie à vendre de la drogue, ont beau passer leur temps à se houspiller, les deux jeunes hommes sont inséparables et n’imaginent pas passer leurs grandes journées d’été à faire autre chose que traîner ensemble sur des bancs de parc de la Rive-Sud, sacrer, fumer des joints, agacer les filles ou les passants avec leurs blagues sexistes et racistes. Une vie de débauche insouciante et vaine qui terrorise les parents de Karim, mais qui emplit le vide.

Présenté en février 2013 aux Rendez-vous du cinéma québécois, puis au Festival du Nouveau Cinéma, La ferme des humains sort en salles au Québec le 17 janvier 2014.

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Catégories : Arts et divertissements, Immigration et Réfugiés, Société
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