La 33e édition du Mondial des Cultures bat son plein depuis le 3 juillet à Drummondville, une ville du centre du Québec située à une centaine de kilomètres de Montréal.
Jusqu’au 13 juillet, la petite ville de 72 mille habitants sera un véritable carrefour culturel mondial.
En 11 jours de festivités, le Mondial propose plus de 450 activités ayant pour dénominateurs communs la danse, le chant et la musique.
Environ 300 artistes venus d’une quinzaine de pays et leurs homologues québécois en mettent plein la vue aux quelque 260 000 visiteurs qui, comme les artistes, viennent de partout à travers le monde.
Fierté de la ville de Drummondville, le Mondial des cultures mobilise chaque année plus de 2 000 bénévoles.
Une carte de visite reconnue
Le Mondial vise à favoriser la découverte des cultures d’ailleurs et par le fait même, d’en souligner les proximités.
En guise de reconnaissance de l’importance du festival, les ministères québécois du Tourisme et de la Culture et des Communications lui ont octroyé une aide financière de 185 000 $.
La ministre du Tourisme du Québec, Dominique Vien s’est dite fière de «soutenir cet événement qui participe activement au développement de l’économie, à la création d’emplois et au rayonnement du Centre-du-Québec (…). Les retombées provenant des visiteurs internationaux et des Québécois en visite dans d’autres régions enrichissent notre patrimoine et en assurent la pérennité».
M. Charles Guillemette est le directeur général et artistique du Mondial des Cultures de Drummondville. Il explique d’abord à Didier Oti les origines et les particularités de ce festival.
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