Deux hommes syriens gais, soit Aamer, dont le visage est caché parce qu'il n'a pas révélé son identité sexuelle à sa famille, et son partenaire Danny Ramadan arrivent à l'aéroport international de Vancouver en 2014, grâce à l'aide de deux Canadiens, David Salter et Ron Rosell, à droite. (Margaret Gallagher)
Les réfugiés de la communauté LGBTI sont depuis longtemps placé dans la catégorie des réfugiés les plus vulnérables au yeux du Canada.
ÉcoutezSur cette photo de 2005, deux garçons, Mahmoud Asgari, 16 ans, (en bas) et Ayaz Marhoni, 18 ans, sont exécutés par pendaison en Iran. Ils ont dit avant leur exécution qu’ils ne savaient pas que les actes homosexuels étaient passibles de mort. Une histoire qui a mobilisé la communauté internationale. (Crédit photo : AFP/Getty Images)
C’est en Afrique et au Moyen-Orient dans certaines des régions qui sont au coeur de la tragédie humanitaire actuelle que les homosexuels sont particulièrement en danger et réprimés.
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Le saviez-vous? Être gai semble favoriser l’admissibilité au statut de réfugié au Canada! – Même avant l’annonce cette semaine que le Canada accorderait la priorité aux réfugiés syriens homosexuels, le fait d’être un homosexuel persécuté dans son pays semble être un critère qui favorise les chances d’être accepté comme réfugié au Canada. – Selon une enquête statistique réalisée en 2008 par l’Université York à Toronto, les demandeurs d’asile homosexuels au Canada sont acceptés dans 57 % des cas alors que pour l’ensemble des demandeurs d’asile le taux moyen d’acceptation toutes catégories de réfugiés confondus est de 42 %.
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