Alors que 195 pays et 117 ONG sont réunis à Paris dans le cadre de la 21-ième Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, la ministre canadienne de l’Environnement et du Changement climatique, Catherine McKenna, annonce que le Canada participera au financement de projets dans des pays plus pauvres et plus vulnérables.
30 millions de dollars s’ajouteront aux 200 millions de dollars américains déposés par d’autres pays donateurs dans le Fonds pour les pays les moins avancés (FPMA).
Ce fonds répond aux besoins urgents et immédiats des pays les pays les moins avancés dans la lutte contre les changements climatiques.

Cette contribution fait partie de la promesse du Canada de verser 2,65 milliards de dollars canadiens au cours des cinq prochaines années afin de soutenir la transition des pays en voie de développement vers des économies faibles en carbone qui sont à la fois plus écologiques et plus résilientes au climat.
« Grâce aux projets financés dans le cadre du FPMA, notre but est d’aider les pays les moins développés à améliorer leur résilience aux changements climatiques en intégrant des mesures d’adaptation dans leurs politiques, leurs plans et leurs programmes de développement, et ce, à tous les échelons et par tous les gens concernés, y compris les gouvernements, les entreprises privées, la société civile et les peuples autochtones. » Naoko Ishii, présidente-directrice générale, Fonds pour l’environnement mondial.
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