Le Petit Prince, une coproduction franco-québécoise réalisée par un américain, Mark Osborne, a pris l’affiche le 12 février au Québec et sortira en version anglaise, au Canada et aux États-Unis, le 18 mars.
Basé sur l’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry, c’est l’histoire d’une petite fille plongée dans un monde d’adultes et d’un aviateur pas encore sorti du monde des enfants qui se trouvent… grâce à l’histoire du Petit Prince.
Des centaines de personnes ont travaillé à la réalisation de ce film d’animation, dont un certain nombre basé à Montréal.
Deux studios, Mikros et ToutEnKartoon, se sont occupés respectivement de l’animation 3D pour le monde réel en animation et de stop-motion, une technique d’animation en volume, pour les séquences inspirées de l’univers du « Petit Prince ».

Même si elle est très contraignante, l’animation en volume – une technique semblable à celle du dessin animé – fait toujours des adeptes.
Et ces dernières années, ce procédé centenaire est revenu à l’avant-scène avec des films comme Gumby , Wallace et Gromit ou L’Étrange Noël de monsieur Jack.
Ce qui a donné envie à Érik Goulet, professeur d’animation de stop-motion à la Faculté des Beaux-Arts de l’Université Concordia, de créer, en 2009, le Festival du film de stop-motion de Montréal (FFSMM).

Érik Goulet nous parle de son rôle de créateur dans Le Petit Prince et de sa passion pour le stop motion.
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