Montréal s’apprête à souligner l’importance historique et actuelle des Jeux olympiques de 2016. À travers une exposition en trois lieux de l’arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve cet été 2016, la ville entend non seulement présenter des souvenirs historiques, mais aussi faire vivre des témoignages de différents acteurs importants ayant vécu cette histoire et présenter l’un des plus grands pôles d’attraction événementielle et touristique du Québec.
C’est un souvenir à vivre absolument, souligne Michel Labrecque, le directeur général du Parc olympique. C’est le souvenir de 76 millions de spectateurs, d’amateurs d’événements sportifs et de foires exposition.
Une exposition en trois lieux qui va souligner l’architecture du grand ensemble multidisciplinaire qu’est devenu le Parc olympique aujourd’hui, affirme monsieur Labrecque qui cite le Golfe, le planétarium, le Centre Paul Sauvé, le parc Maisonneuve, l’aréna Maurice Richard, le Jardin botanique, le Biodôme, le Planétarium, le centre sportif, le stade Saputo, le stade olympique, 4000 places de stationnement, 4 000 000 de visiteurs par année.

C’est une façon pour lui de relever la dimension imposante du Parc qui fait partie d’un ensemble voulu par la bourgeoisie de Maisonneuve et qui regroupe des équipements publics de grande importance pour Montréal et pour toute la province.
Avec son budget annuel de 40 millions de dollars, le Parc olympique qui emploie près de 2500 personnes, se positionne comme un important moteur de développement économique pour le Québec.

L’exposition voulue en trois lieux célèbre aussi ceux qui ont négocié et ont obtenu le déroulement des jeux à Montréal, sans oublier ceux qui ont construit les équipements et l’une des tours les plus inclinées au monde qui font la beauté de Montréal, comme Roger Taillibert.
L’exposition mettra en avant à côté des personnes mentionnées, les grandes vedettes internationales qui ont illuminé de leur présence cet événement, en bref tous les hommes et femmes qui ont permis la réalisation de la volonté historique de la ville de Montréal dès le 20e siècle, précise Michel Labrecque.

Il invite le public à découvrir les artéfacts de l’événement qui ont été soigneusement conservés et qui seront présentés lors de l’exposition dont l’importance n’est plus à rappeler tant pour les plus vieux nostalgiques que pour les plus jeunes qui n’ont pas vécu l’événement.
Michel Labrecque est au micro de Alice Chantal Tchandem

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