Toute petite, Anik Bissonnette s’émerveille devant Casse-Noisette, l’adaptation chorégraphique du conte d’E. T. A. Hoffmann présentée par Les Grands Ballets Canadiens de Montréal.
Son émerveillement se transformera en vocation, elle sera première danseuse aux Grands Ballets Canadiens de 1989 à 2006.
Ses chaussons de ballet rangés, la danseuse transmet maintenant sa passion aux étudiants de l’École supérieure de ballet du Québec, une institution crée il y a 64 ans par Madame Ludmilla Chiriaeff, mais incorporée en 1966 à la demande du ministère des Affaires culturelles du Québec.

Le saviez-vous?
Dans les années 1950, l’Église catholique du Québec s’était opposée aux premiers spectacles publics de ballet, jugeant la danse immorale!
Les temps ont bien changé, fort heureusement, aujourd’hui le ballet est plus populaire que jamais.
Depuis ses débuts, l’unique institution francophone en Amérique du Nord offrant une formation de calibre international a formé des centaines de jeunes en danse classique dont beaucoup se sont ensuite illustrés.
Entrevue avec Anik Bissonnette, la directrice artistique de l’École supérieure de ballet.
Écoutez
125 futurs danseurs étoiles seront sur scène les 26, 27 et 28 mai à Montréal, pour célébrer les 50 ans de l’École supérieure de ballet du Québec. Ils présenteront le spectacle Corps de ballet. Au programme : les plus beaux ballets du répertoire, dont Le Lac des cygnes.
Également sur scène, Maude Sabourin, une diplômée de l’École aujourd’hui danseuse soliste aux Ballets de Monte-Carlo.
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