En fin de semaine dernière dans un bar d’Orlando en Floride, l’Américain Omar Mateen ouvrait le feu, tuant 49 personnes et en blessant 53 autres. Cette tuerie serait le pire acte de violence commis aux États-Unis avec une arme à feu.
Au moment du drame, Omar Mateen plaide avoir agi au nom du groupe armé État islamique, mais des faits révèlent que Mateen avait fréquenté régulièrement cette discothèque où la communauté LGBT se retrouvait pour faire la fête.
Mais qu’en est-il vraiment?
S’agit-il d’un cas d’autoradicalisation sans lien avec l’EI ?
Omar Mateen était-il un homosexuel non avoué qui, à cause de sa religion, ressentait un profond désarroi?
Stephen Brown est professeur titulaire en études politiques à la Faculté des sciences sociales de l’Université d’Ottawa. Maryse Jobin lui a demandé pourquoi, dans l’affaire Mateen, il ne faut pas sauter trop vite aux conclusions.
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Complément d’information
Qui sont les 49 victimes de la tuerie d’Orlando ? (Radio-Canada Nouvelles)
Le tireur d’Orlando fréquentait la discothèque gaie (Radio-Canada Nouvelles International)
Terrorisant, oui. Terroriste pas si sûr (Journal de Montréal)
Le défilé de la Fierté gaie de Toronto sur la liste des cibles du groupe État islamique (Agence QMI)
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