La famille, les amis ni même l’avocat de cette professeure de sociologie et d’anthropologie à l’Université Concordia à Montréal n’ont pu, jusqu’à présent, communiquer avec elle.
Personne ne comprend pourquoi Mme Hoodfar est emprisonnée depuis le 6 juin à la prison d’Evin, au nord de Téhéran, sous contrôle des Gardiens de la révolution islamique.
Une seule information aurait filtré le 24 juin dernier laissant entendre que le procureur public de Téhéran aurait mis Homa Hoodfar en examen parce qu’elle se mêlait de féminisme et de questions liées à la sécurité.
Selon sa nièce Amanda Ghahremani, Homa Hoodfar, une spécialiste du rôle des femmes dans les sociétés musulmanes, n’est pas reconnue comme une militante politique.
J’ai demandé à Amanda Ghahremani quelles étaient les nouvelles récentes au sujet d’Homa Hoodfar:
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