Une telle offre d’emploi a de quoi attirer l’attention!
Elle ne s’adresse qu’aux citoyens canadiens et est valide, en ligne, jusqu’au 4 août.
Évidemment, il y a quelques conditions à respecter pour siéger à la Chambre haute :
- avoir au moins 30 ans;
- posséder de l’immobilier dans sa province d’une valeur nette d’au moins 4 000 $;
- avoir une valeur nette personnelle d’au moins 4 000 $;
- résider dans la province représentée;
- le bilinguisme est aussi un atout.
Un comité consultatif indépendant sur les nominations au Sénat recommandera ensuite les candidats potentiels, provenant d’horizons professionnels divers, au premier ministre du Canada Justin Trudeau.
Le saviez-vous?
La Chambre haute compte 105 sénateurs représentant toutes les provinces et territoires. Ils sont trois fois moins nombreux que les députés fédéraux.
Réforme du Sénat
Monsieur Trudeau a réformé le processus de nomination des sénateurs depuis son élection l’automne dernier pour limiter l’influence des partis politiques à la Chambre haute.
Le nouveau système est maintenant fondé sur le mérite.
Grâce à ce changement, le Sénat comptera bientôt plus de sénateurs indépendants que de sénateurs affiliés à un mouvement politique.
Que fait un sénateur ou une sénatrice?
De compétences variées, les sénateurs vont « à l’essentiel de projets de loi complexes » apprend-on sur le site du parlement du Canada. « Saisissant bien les enjeux, les sénateurs peuvent les scruter à fond et se montrer sensibles aux besoins des personnes et des organisations concernées.»
Comme pour les juges canadiens, les sénateurs prennent leur retraite à 75 ans, assurant à la fois une continuité et une mémoire institutionnelle.
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