En 2014 à l’Université d’Ottawa, dans la capitale canadienne, une équipe de hockey masculin a été suspendue pendant deux ans suite à des accusations d’agressions sexuelles qui auraient été commises par des membres de l’équipe.
Une affaire qui a fait grand bruit à l’époque et qui a amené des organismes comme le CALACS francophone d’Ottawa (Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel) à travailler de concert avec des établissements d’enseignement pour contrer ce problème.
Mais ce travail de sensibilisation et de prévention face à la culture du viol est un processus qui met du temps à s’implanter selon Josée Guindon, gestionnaire au CALACS francophone d’Ottawa.
Maryse Jobin a demandé à Josée Guindon de nous parler des difficultés que rencontrent les victimes d’agressions sexuelles lorsqu’elles veulent porter des accusations.
ÉcoutezCALACS francophone d’Ottawa (Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel)
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