Pour James Bates, dont la résidence principale est à Port Morien, au Cap-Breton, une catastrophe n’attend pas l’autre.
Évacué de Fort McMurray, en Alberta, le printemps dernier à cause des immenses feux de forêt, voilà que James Bates voit sa maison, située sur l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, menacée à cause d’un affaissement de terrain dû aux pluies abondantes de la semaine dernière.
Résultat : un fossé s’est formé à côté de sa résidence.

C’est son épouse qui lui a téléphoné, la semaine dernière, pour l’avertir alors qu’il travaillait pour une entreprise de construction dans le nord de l’Alberta.
« Je suis très secoué. Il y a beaucoup de dégâts, mais beaucoup de gens ont subi bien plus de dommages que nous. Il y avait une inquiétude supplémentaire cette fois. J’étais à Fort McMurray quand tout cela est arrivé, il fallait obtenir un vol pour rentrer à la maison et ensuite constater les dommages », a souligné James Bates.
M. Bates espère que les réparations que requiert son terrain seront déboursées par la Municipalité de Port Morien et le ministère des Transports de la Nouvelle-Écosse.

RCI avec Radio-Canada Atlantique
Complément d’information
L’heure est au nettoyage après les inondations au Cap-Breton (Radio-Canada Atlantique)
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