Haroun Bouazzi, de l’Association des musulmans et arabes pour la laïcité

Haroun Bouazzi, de l’Association des musulmans et des Arabes pour la laïcité au Québe.
Photo Credit: Radio-Canada

Haroun Bouazzi et la position de l’AMAL sur la neutralité religieuse de l’État au Québec

Le 9 novembre prochain, l’Association des musulmans et des Arabes pour la laïcité au Québec (AMAL) participera aux consultations portant sur le projet de loi 62 et le principe de la neutralité religieuse de l’État à l’Assemblée nationale du Québec.

Haroun Bouazzi, qui a cofondé l’AMAL-Quéebec en 2012, précise que l’association défend le principe de la laïcité pour tous et pour toutes tout en s’opposant à la discrimination basée sur la religion.

Mais d’autres voix s’élèvent pour affirmer que le projet de loi 62, tel que proposé par le Parti libéral du Québec, ne comprend que la mention de visage découvert pour les employé(e)s de l’État.

Ce concept de « neutralité religieuse » ne semble pas faire l’unanimité au sein de la société québécoise.

Selon l’ancienne députée libérale de l’Assemblée nationale du Québec, Fatima Houda-Pépin, le projet de loi ramène sur le tapis la question du tchador (une longue robe noire qui ne laisse entrevoir que le visage).

Haroun Bouazzi explique la position de l’Association des Musulmans et des Arabes au Québec sur la neutralité religieuse de l’État au micro de Maryse Jobin.

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En complément

AMAL Québec

Le tchador est de retour (opinion Fatima Houda-Pépin Journal de Montréal)

Catégories : Politique, Société
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