Lorsqu’un athlète subit une commotion cérébrale, la matière blanche de son cerveau peut être affectée à long terme même si l’athlète croit avoir bien récupéré.
C’est ce que le chercheur François Tremblay a découvert avec un de ses étudiants à l’Université d’Ottawa.
Les commotions cérébrales peuvent mener à un ralentissement des fonctions du cerveau et peuvent avoir des répercussions sur les capacités cognitives, perceptives et motrices des athlètes blessés à la tête dans des sports comme le football, le hockey et le rugby.
Maryse Jobin s’est entretenue à ce sujet avec François Tremblay, professeur et chercheur à l’Institut de recherche sur le cerveau de l’Université d’Ottawa.
François Tremblay dirige aussi le laboratoire de neurosciences cliniques à l’Institut de recherche Élizabeth Bruyère.

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