Même si la montée en flèche du prix des maisons semble se calmer dans les grandes villes canadiennes que sont Vancouver, Toronto et Montréal, les prix sont toujours à la hausse.
Par exemple, à Vancouver en 2016, les mesures pour calmer la surenchère immobilière ont eu des effets sur les maisons unifamiliales, mais beaucoup moins pour les appartements en copropriété.
Dans la grande région de Toronto, la plus grande ville du Canada, le gouvernement provincial a dû mettre en place des mesures similaires à celles que l’on retrouve à Vancouver pour contrer la hausse du prix des maisons au cours des 12 derniers mois.
Parmi les facteurs qui causent ces hausses, les investisseurs étrangers qui profitent de la baisse du dollar canadien pour acheter des propriétés.
Maryse Jobin a demandé à Sébastien Lavoie, économiste en chef pour Valeurs mobilières Banque Laurentienne, de brosser un tableau de la situation.
Écoutez
En complément
Le cercle vicieux de l’immobilier de Toronto (Radio-Canada nouvelles Toronto)
Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.