C’est de cette façon que Bonsa Toun’wanzè décrit son appel vers une carrière de chanteur et de musicien après avoir développé dans sa jeunesse sa voix dans une école anglo-arabe au Ghana.
Plus tard, Bonsa a perfectionné son jeu de la guitare traditionnelle à deux cordes appelée « koani » dans un village griot au Burkina Faso après la dissolution de son premier groupe, les Negramers.
Jeudi dernier, à Montréal, il a remporté le Syli d’or 2017 attribué à la 11e édition de ce concours organisé par Nuits d’Afrique.
Maryse Jobin s’est entretenue avec Bonsa Toun’wanzè à propos de sa démarche musicale aussi teintée de Rythm & Blues.
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