Michel Allard a consacré plusieurs décennies de sa vie à étudier le sol du Grand Nord québécois.
Une grande partie de ses recherches portent sur les conséquences des changements climatiques et sur le réchauffement du pergélisol.
« Depuis le milieu des années 90 au Québec, on vit un réchauffement climatique intense […] On a fait 3 degrés de réchauffement en quelque 8 à 10 ans […] On a vu des tassements se produire sur les sols, des petits glissements de terrain. » Michel Allard, professeur titulaire au département de géographie de l’Université Laval
Ce qui force les communautés autochtones et inuites à s’adapter pour consolider les infrastructures des endroits et des villages qu’ils habitent.
C’est pour les recherches que Michel Allard a menées et les liens qu’il a tissés au Nunavik qu’il a remporté le Prix de la famille Weston pour les réalisations de toute une vie dans le domaine des recherches nordiques.
Maryse Jobin a questionné l’expert québécois Michel Allard sur ses recherches et les raisons de son engagement.
Écoutez
Centre d’études nordiques de l’Université Laval

Vidéo fournie par la Fondation W. Garfield Weston
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