(Image d'archives) Des manifestants des groupes d'extrême droite Atalante et Soldats d'Odin à Québec le 25 novembre 2017. Crédit Photo: REUTERS/Mathieu Bélanger

Mieux vaut prévenir que guérir, recherche sur l’extrême droite au Québec

Le Centre d’expertise et de formation sur les intégrismes religieux, les idéologies politiques et la radicalisation (CEFIR) a reçu une aide de 300 000 $ cette semaine d’Ottawa afin de lutter contre ces tendances au Québec.

Le gouvernement Trudeau espère que les policiers auront de meilleurs outils pour comprendre ce qui motive et alimente l’extrême droite au Québec.

Le CEFIR, installé à Longueuil, travaillera en partenariat avec le Service de police de cette agglomération, le Cégep de Saint-Hyacinthe et le Collège militaire de Saint-Jean.

Martin Geoffroy, chercheur principal du CEFIR, croit que ce projet pourrait limiter la normalisation des discours d’extrême droite en ayant recours à la pédagogie sociale et numérique.

Ce n’est pas le premier engagement de ce genre au Canada. En mars, Ottawa a aussi injecté 360 000 $ à l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario pour enquêter sur ces groupes ailleurs au Canada.

C’est grâce au Fonds pour la résilience communautaire que cette aide à la recherche a été octroyée au CEFIR. Ce fonds a vu le jour en 2017 et a été créé par Sécurité publique Canada.

RCI avec les informations de Radio-Canada

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Catégories : Société
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