« Hélène Brunet, c’est la classe, le raffinement, la pureté, la musique qui parle sans artifice. »
C’est maestro Yannick Nézet-Séguin, directeur musical de l’orchestre Métropolitain de Montréal, de l’orchestre de Philadelphie, et de l’orchestre philharmonique de Rotterdam qui a eu ce commentaire au sujet de notre invitée d’aujourd’hui, la soprano canadienne Hélène Brunet.
C’est une toute jeune carrière, une carrière qui démarre en fait. Hélène a terminé ses études de maîtrise en chant à la faculté de musique de l’Université de Montréal il y a à peine deux ans. Sous la gouverne de la soprano Suzie LeBlanc, Hélène a découvert sa voix et, dans un certaine mesure, sa voie.
La musique était aussi quotidienne à la maison que l’était le verre de lait au repas, les devoirs et les leçons vérifiées par les parents et les taquineries que se faisaient la fratrie, son frère Philippe et sa sœur Cynthia. Dans le cocon familial, Hélène a écouté de tout, goûté à tout plein d’univers musicaux, chanté du pop et du blues et découvert le chant classique.
C’est le répertoire baroque avec toute sa passion presque fauve ou retenue selon les émotions qui l’interpelle tout particulièrement. Une carrière qui démarre avec force, passion, travail et beaucoup d’espoir.

Passionnée jusqu’au bout du rire, Hélène Brunet.
Vous pouvez écouter des oeuvres chantées par Hélène Brunet ici.
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