Quand on découvre la musique – et quand elle nous découvre- il se tisse un lien fait de nombreux sentiments, d’émotions. Quand certains d’entre nous prennent contact avec un instrument de musique, s’ouvre pour eux, pour elles, un monde qui ne demande qu’à être exploré.
L’auteur peut écrire ses textes, le musicien peut bien écrire sa musique, ce qu’il cherche surtout, c’est de l’entendre et de la faire entendre.
Entrer dans un studio d’enregistrement pour la première fois est une expérience profonde pour tout musicien. Et, certains d’entre nous – je suis passé par là dans une autre période de ma vie- rêvons de nous entourer de notre « propre studio ».

© www.claudenaubert.com
Claude Naubert l’a fait lui. Mais, pas dans une des grandes villes canadiennes. Après des années passées dans la métropole canadienne, Toronto, à vivre de sa voix, de sa musique et de sa plume avec beaucoup de succès, il décide de rentrer dans son coin de pays, l’Outaouais québécois, tout près de la capitale nationale, Ottawa. Et c’est au bord d’un lac magnifique qu’il a « monté » son studio.
Soit, le studio est en place, tout fonctionne bon, maintenant, comment le fait-on vibrer, comment le fait-on fonctionner quand on est implanté dans un coin magnifique mais pas vraiment sur le parcours habituel des productions musicales?

Claude Naubert est l’invité au micro de Raymond DesmarteauÉcoutez
Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.