Happy Yak, une jeune entreprise québécoise, se spécialise en préparation de repas lyophilisés pour les aventuriers et les explorateurs qui courent la planète.
Comment se fait la lyophilisation ? Que mange-t-on de particulier ? Qui s’intéresse à ce genre d’alimentation ?
Écoutez Entrevue avec Christine Chénard, qui dirige avec son partenaire Guy DuBuc Happy Yak.
À une époque on disait que l’humain se nourrirait un jour de pilules alimentaires. L’idée n’est pas morte, des chercheurs y travaillent sérieusement, entre autres aux É-U. Mais pour l’instant ce n’est pas chose faite, au contraire !
Ainsi au Canada, les gens font de plus en plus attention à leur alimentation, en choisissant des produits frais, bios, produits localement.
Même les aventuriers se nourrissent bien. Mylène Paquette, dont nous avons beaucoup parlé au cours des dernières semaines, a dégusté de bons petits plats à bord de son bateau. La rameuse océanique québécoise a pu se régaler de spaghetti à la sauce napolitaine et tomates séchées, de porc braisé, sauce aux champignons et vin blanc, de crevettes au cari sur riz ou encore d’un plat bien québécois, le pâté chinois !
Comment cela est-il possible au milieu de l’océan atlantique?
Grâce à la lyophilisation, un procédé unique de conservation des aliments.
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