Des foreuses au projet Dumont de Royal Nickel

Des foreuses au projet Dumont de Royal Nickel
Photo Credit: Claude Bouchard

Le retrait de l’Indonésie du marché du nickel pourrait profiter à la minière canadienne Royal Nickel

Le gouvernement indonésien, voulant faire face à ses besoins internes, vient d’interdire l’exportation de minerais bruts, principalement le nickel et la bauxite, imposant à ses clients, dont la Chine, de se chercher de nouveaux partenaires.

Une excellente nouvelle pour Royal Nickel, qui, il y a à peine une semaine, avait dû licencier 40 % de ses employés. La minière développe en ce moment l’un des plus grands projets de sulfure de nickel non exploité au monde, le projet nickélifère Dumont en Abitibi-Témiscamingue dans le nord-ouest du Québec.

La minière espère donc combler une partie de la demande mondiale avec ce projet qui devrait rentrer en production en 2016.

Sachant que les stocks de nickel de la Chine pourraient commencer à s’épuiser vers la mi-2015, qu’en 2016, le manque à gagner pourrait être de 313 kilotonnes et de 693 kilotonnes en 2020, Royal Nickel sera prêt à produire du concentré au moment où les besoins seront les plus criants pour ce pays d’Asie de l’Est.

Royal Nickel mise sur sa capacité de production de 52 000 tonnes de minerais par jour pendant les 5 premières années.

Catégories : Économie, Environnement et vie animale, International
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