Même si les représentants de l’opposition et ceux du régime syrien ont accepté de se référer à l’accord dit de Genève I comme base de leurs discussions pour trouver une issue à la guerre qui ravage la Syrie depuis près de trois ans, les divergences persistent à la conférence de paix sur la Syrie. À en croire le médiateur de l’ONU pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, on ne s’attend à « aucune avancée substantielle » d’ici vendredi alors que s’achèvera le premier round de pourparlers dans le cadre de Genève 2. Les discussions reprendront une semaine plus tard.
ÉcoutezUn compte-rendu des derniers jours de discussions avec Henri Habib, professeur émérite distingué au département de science politique de l’Université Concordia à Montréal.L’accord de Genève I, adopté en juin 2012 par les grandes puissances, prévoit la mise en place d’un gouvernement de transition.
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