Une quinzaine de bateaux seulement auraient signalé leur intention de prendre part à la chasse au phoque du Groenland qui débute ce lundi et dont le quota est de 400-mille prises.
Cette industrie a beaucoup de difficulté à survivre, malgré l’aide financière du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, car les marchés aux États-Unis, dans plusieurs pays d’Europe ainsi qu’en Russie sont fermés aux produits du phoque.

Selon la ministre fédérale de Pêches et Océans, Gail Shea, les chasseurs ressentent les effets des campagnes du mouvement de protection des animaux qui, selon elle, répandent de fausses informations. La ministre ajoute que c’est injuste, parce que l’industrie a fait beaucoup de travail pour que la chasse se déroule sans cruauté.
Le Canada a porté en appel une décision de l’Organisation mondiale du commerce, qui a approuvé la décision de l’Union européenne d’interdire les produits du phoque.
Pour des raisons indépendantes de notre volonté et, pour une période indéterminée, l'espace des commentaires est fermé. Cependant, nos réseaux sociaux restent ouverts à vos contributions.