C’est ce que croit le professeur émérite en sciences économiques à l’UQAM (Université du Québec à Montréal) Pierre Fortin qui est aussi chroniqueur en économie au magazine L’actualité.
Parce que même si la dette du Québec a augmenté de 65 milliards de dollars entre 2003 et 2014, le revenu total des Québécois, le PIB (le produit intérieur brut) a augmenté de 115 milliards de dollars.
Ce qui garde constant à 54 % le poids de la dette québécoise par rapport à l’économie de la province.
Maryse Jobin a demandé à Pierre Fortin, professeur en sciences économiques, de nous expliquer pourquoi il est crucial de remettre la dette du Québec en perspective et de ne pas peser sur le bouton de panique.
Dette du Québec: rien ne justifie la panique (chronique de Pierre Fortin, magazine L’actualité)
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