Vue aérienne de la mine Ekati. Photo reproduite avec l’autorisation de BHP Billiton
Photo Credit: BHP Billiton

Qu’arrive-t-il après la fermeture d’une mine?

Quand on se penche sur les photographies aériennes des mines de diamants à ciel ouvert Ekati et Diavik, dans les Territoires-du-Nord-Ouest, ce qu’on remarque en premier, ce sont ces énormes cratères circulaires, comme s’ils avaient été creusés dans la toundra par une sorte de tire-bouchon géant.

D’énormes engins de terrassement creusent le sol et transportent la kimberlite – ces roches qui contiennent le diamant – jusqu’à une usine de récupération où le minerai est passé dans des concasseurs. Le précieux résidu – des diamants bruts de tailles et de formes variées – est ensuite passé dans des séparateurs, avant d’être encore davantage trié et traité.

Diavik diamond mineVue aérienne de la mine Diavik. Photo reproduite avec l’autorisation de Diavik Diamond Mines Inc.

Mais que fait-on du site une fois l’extraction minière terminée? Cette activité industrielle intensive marque-t-elle à jamais la toundra et les lacs de la région?

Le réalisateur Levon Sevunts de Radio Canada International a voulu en savoir plus et a interviewé Colleen English, chef du Développement durable, des Relations extérieures et des Relations avec les collectivités, à la mine de diamants Diavik.

Catégories : Autochtones, Environnement et vie animale, International
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