Bien à l’abri du temps
En canot sur l’étang
Dans les Laurentides
Solide comme une pyramide
Sous les aurores boréales
De Montréal
Et nous irons passer Avril sur Mars
C’est là le dernier couplet d’un grand classique de Robert Charlebois, Avril sur Mars.
Mars, la planète rouge, notre planète soeur dissent certains.
Depuis longtemps, Mars est dans la mire des explorateurs des temps modernes.
Mars est aussi le point focal d’une organisation à but non lucratif basée à Amersfoort aux Pays-Bas, Mars One, qui projette d’envoyer un équipage de quatre personnes tous les deux ans, le premier groupe devant arriver en 2025.
Au depart, quand les appels de candidatures ont été lances, plus de 200 000 personnes ont répondu «présent».
Le 30 décembre, cet échantillon a été réduit de 99,5 %. Des 200 00 du depart, ils n’étaient plus que 1 058 candidats retenus pour la seconde ronde de sélections.
Rappelons qu’ils et elles seront 24 à erntreprendre les préparatifs du depart, et, ultimement, le grand voyage.
Claude-Michel Laroche, 32 ans, fait partie de ceux qui peuvent continuer à rêver de devenir l’un des premiers hommes à avoir marché sur Mars.
Comment le vivent ses proches?
« Il sont partagés entre la craintes de me voir partir si je suis sélectionné, et celle de me voir accomplir un rêve. »
Et son employeur?
«Il a été très excité à l’idée du projet. Je n’ai eu aucun commentaire négatif. En fait, si je fais partie des 24 sélectionnés, dans deux ans, je deviendrais un employé à temps plein de la fondation Mars One. À partir de là, il faudra se préparer du mieux possible pour la mission annoncée en 2025», préfigure le futur astronaute.
S’il est choisi et s’il part, si le voyage se passé bien et qu’il arrive a amarsir, il passera toules le reste de ses mois d’avril sur Mars.
Claude-Michel Laroche, célibataire, doté d’une formation en génie physique à l’École polytechnique de Montréal et actuellement inspecteur technique chez Industrie Canada parle de la grande aventure au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
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