Comprendre le rôle du Hamas dans le conflit israélo-palestinien
Hamas veut dire « ferveur » en arabe. Ce mouvement a remporté les élections législatives dans la bande de Gaza en 2006 et a écarté le Fatah de Yasser Arafat vu comme étant trop conciliant envers Israël.
Maryse Jobin revient sur les origines du Hamas et de son rôle au Proche-Orient avec Raymond Saint-Pierre, reporter national à la télé de Radio-Canada. Raymond Saint-Pierre a couvert cette région du globe à de nombreuses reprises. Elle lui a d’abord demandé si la réalité sur le terrain aujourd’hui avait chez lui une impression de « déjà-vu ».
Cornemuses sans frontières : la passion de Boris Favre à Vancouver
Il y a le facteur qu’on attend impatiemment chaque matin avec notre courrier et il y a le facteur qui fabrique des instruments de musique.
Boris Favre fait partie de la seconde catégorie. Il fabrique des cornemuses. Qu’elles soient françaises, suédoises ou irlandaises, elles n’ont plus de secrets pour lui.
Installé à Vancouver en Colombie-Britannique depuis près de 35 ans, ce Lyonnais d’origine est avant tout un musicien professionnel. Il est membre de plusieurs formations musicales : Pastiche, un groupe de musique francophone, le Deborah Ledon Latin-Jazz sextet ou encore Music with Marnie, un groupe qui fait de la musique pour enfants.
Il est aussi l’un des Mad Pudding, une formation fusion-celtique avec qui il a effectué de nombreuses tournées, au Canada et dans le monde.
Comme si ce n’était pas suffisant, il est professeur de piano à l’école de musique de Sarah McLachlan à Vancouver et s’est découvert une passion pour la fabrication de cornemuses. Il a appris le métier seul grâce à des vidéos loués à la bibliothèque et grâce à Internet et il s’est perfectionné auprès de divers facteurs au Canada, en Irlande et en France.
Au micro d’Anne-Marie Yvon, Boris Favre nous explique quand et comment tout a commencé.
Le garage à musique et la pédiatrie sociale: à l’unisson!
Le Garage à musique : un projet de développement social initié par une avocate-médiatrice, qui propose une intervention unique auprès des enfants et des jeunes âgés de 0 à 20 ans, en combinant la pratique de la pédiatrie sociale en communauté l’accompagnement scolaire adapté aux besoins de l’enfant et la pratique collective de la musique.
Le Garage à musique est un projet de développement social initié. Mis sur pied par l’avocate-médiatrice mais fondamentalement musicienne Hélène Sioui-Trudel, le Garage à musique est une intervention unique auprès des enfants et des jeunes. On y fait côtoyer la pratique de la pédiatrie sociale en communauté, l’accompagnement scolaire adapté aux besoins de l’enfant et la pratique collective de la musique.
Hélène Sioui-Trudel raconte à Raymond Desmarteau comment est née l’idée de ce « garage » à musique.
Et nous vous proposons également:
Huacatay, papalo, rocoto, petite visite dans «Les jardins épicés»
À son arrivée au Canada il y a quelques années, Sylvia Meriles a dû se tourner vers le dépannage alimentaire pour s’en sortir. Elle a vite constaté que le panier, qu’elle recevait,
manquait cruellement de légumes frais. L’agronome de formation, originaire de la Bolivie, s’est dit qu’une fois bien en selle elle changerait les choses. En 2012, elle fonde, grâce à la Ferme du Bord du Lac, un organisme à but non lucratif, incubateur d’entreprises agricoles, Les jardins épicés. Dans sa ferme urbaine d’un demi- hectare, située à l’Ile-Bizard au Québec, Sylvia développe et produit des légumes et des fines herbes exotiques d’Amérique latine, destinés au marché de la restauration et au marché au détail.
Présence Autochtone mise sur la jeunesse
Le plus ancien, le plus enraciné, le plus durable des mouvements de résistance en Amérique vous invite à sa grande manifestation annuelle. Manifestation culturelle, pacifique, joyeuse, menée tambour battant au rythme de la terre, notre mère à tous.
Avec les mots des langues anciennes, des cultures millénaires se vivent au présent et, épicentre du phénomène, Montréal redevient la métropole culturelle du Nouveau Monde.
Il faut réinventer le monde à chaque pas. Remonter aux sources, c’est aller frayer dans les eaux vives du renouveau.
Projects Abroad – Pour étudiants qui souhaitent prendre une pause, voyager et contribuer
Prendre une année de congé de ses études universitaires pour parcourir le monde, aller à la recherché de nouvelles aventures et à la rencontre de soi-même, c’est grisant, c’est passionnant, c’est galvanisant même, mais, ça peu être très déroutant.
Où aller? Quoi faire? Par où commencer? Est-ce qu’il me faut un visa? Des vaccins? Etc.
Trop souvent, le désir laisse place à la déroute et on abandonne le projet. Ou encore, on part, sans vraiment être correctement préparé et cette belle aventure risqué d’avoir des résultats mitigés. Plus tard dans la vie, on se rend compte que l’on est passé à côté d’expériences qui ne reviendront pas.
Qu’à cela ne tienne, depuis le milieu des années ’90, l’organisation internationale de volontariat Projects Abroad se consacre à envoyer des étudiants en année de congé à l’étranger dans des pays en voie de développement.
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