L’association juive estime que Stephen Harper a fait preuve « d’un leadership moral hors du commun ».
B’nai Brith Canada propose la nomination. de Stephen Harper comme récipiendaire du prix Nobel de la paix. S’il mérite un tel honneur selon les représentants juifs c’est parcequ’il a su faire la différence entre ceux qui cherchent « à faire le mal » et ceux qui en sont « les victimes » dans les récentes crises internationales.
Selon Frank Dimant, chef de la direction de B’nai Brith : « Il n’y a eu aucun autre leader dans le monde qui a su montrer une telle direction à l’international et une telle compréhension claire des différences entre ceux qui cherchent à faire le mal, et leurs victimes ».
Selon M. Dimant, le premier ministre a constamment défendu les droits des populations qui vivent sous la menace, faisant notamment allusion aux Ukrainiens, victimes de « l’agression russe ». M. Harper a aussi joué un rôle dans la sensibilisation des autres dirigeants à la menace du « terrorisme islamique » auquel le monde fait face, dit B’nai Brith.
Peu de commentaires au bureau du premier ministre
L’attaché de presse du premier ministre a préféré de pas commenter directement le sujet de la nomination de Stephen Harper en se contentant de rappeler les principes qui sous-tendent la politique étrangère canadienne qui est basée selon lui sur des principes clairs : la liberté, la primauté du droit et la démocratie. C Aide-mémoire…
Les critiques martèlent que le gouvernement conservateur de Stephen Harper entretient des relations trop étroites avec Israël au détriment de ses relations avec les représentants palestiniens
On affirme que tout cela endommage la réputation du Canada comme « un négociateur honnête » au Moyen-Orient.
En particulier, le Canada a été l’un des neuf pays à voter aux Nations unies contre la reconnaissance de l’État palestinien, en compagnie des États-Unis, entre autres.
Le Canada dénonce le nouveau visage d’un antisémitisme mondial
En janvier dernier, alors qu’il effectuait une visite en Israël, Stephen Harper avait livré les raisons du soutien indéfectible de son gouvernement à Israël depuis son arrivée au pouvoir en 2006.
Il est rare que Stephen Harper explique publiquement les fondements idéologiques de ses différentes politiques. Or, dans son discours historique devant la Knesset, à Jérusalem, Stephen Harper avait affirmé que le Canada avait le devoir de protéger Israël contre une nouvelle vague d’antisémitisme qui prend forme dans le monde.
Selon Stephen Harper, cet « antisémitisme vise le peuple juif en prétendant viser Israël ». C’est en bonne partie pour cette raison expliquait-il que son gouvernement refuse de critiquer Israël de façon isolée sur la scène internationale.
Stephen Harper était allé très loin dans son soutien à Israël. Il avait dans les faits associé la critique des politiques d’Israël dans le monde à de l’antisémitisme.ans le monde à de l’antisémitisme.
Liens externes
Renforcement des relations entre le Canada et Israël – Quotidien montréalais LaPresse
Protocole d’entente sur le partenariat stratégique Canada-Israël – Gouvernement du Canada
Harper déplore les critiques ciblées contre Israël – Journal Métro Montréal
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