Depuis un an, l’homme de lettres et critique de cinéma Michel Coulombe a planché sur un projet de livre/rencontres/témoignages sur le passage du temps et la relation de l’humain avec la vie qui s’écoule.
C’est quand il a trouvé le filon des «paires» que le livre a vraiment trouvé ses assises. Des femmes, des hommes, de 48 ans pour le plus jeune à 98 ans pour le plus vieux, réunis deux à deux, partenaires improbables ou tout simplement incontournables, se sont ouverts au micro et aux questions de Michel et ont accepté la présence discrète, mais oh combien réelle de la photographe Véro Boncompagni.
Les entretiens se sont échelonnés sur quelques mois, d’août 2013 à janvier 2014. Au cours de ces rencontres, Michel et Véro sont passés du rire aux larmes, des confidences aux discussions parfois très vives, des moments de grâce à l’indignation.
De nombreux sujets ont été touchés, frôlés ou affrontés, c’est selon. Un mot s’instillait dans ces moments de grâce, un mot d’une dimension bien particulière, un mot qui possède presque sa propre déclinaison, sa propre conjugaison : vieux.
L’âge et ses forces, ses faiblesses, ses souvenirs et ses espoirs.
Les forces de l’âge, publié chez Guy St-Jean Éditeur, des propos recueillis et colligés par Michel Coulombe.
Michel Coulombe est l’invité au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
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