Marc-Antoine Meilleur est étudiant au baccalauréat en génie à l’ETS, l’École de technologie supérieure de Montréal. Il est aussi passionné de développement durable.
Et, comme à l’ETS on incite fortement (lire, on exige) les étudiants à faire des projets à l’international, Marc-Antoine a plongé littéralement dans cette «obligation» à pieds joints et avec un grand sourire.
À preuve :
Au Maroc, il a fabriqué et installé une microturbine hydroélectrique qui sert aujourd’hui à alimenter un système de traitement des eaux.
Au Vanuatu (vous savez où c’est?) il a conçu et mis en place un système de panneaux solaires qui servent à alimenter une école sur l’une des nombreuses îles de l’archipel en énergie. De plus, il s’est assuré que le « transfert de connaissances » se fasse en douceur et correctement de sorte que ceux qui ont aujourd’hui la responsabilité de l’entretien du système soient bien au fait des tâches à accomplir.
En Suède, c’est l’échange d’étudiants dans lequel il s’est plongé par l’élaboration d’ententes de réciprocité.
À l’ETS, où il étudie en génie mécanique, cette fois il est membre de la Brigade verte qui, comme son nom peut le laisser croire, fait la promotion de meilleurs comportements écologiques auprès de la population estudiantine.
Les idées foisonnent quand on discute avec Marc-Antoine Meilleur, ce qu’a constaté Raymond Desmarteau.Écoutez
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