Depuis que nous avons conscience du monde et même avant, il y avait la musique. La musique, on la trouve dans le chant d’un oiseau ou encore dans la pluie sur un toit.
Cette capacité que nous avons « à dire » comme êtres qui pensent et qui ressentent des émotions, nous le faisons d’une façon extrêmement sensible et percutante par l musique.
Différemment des autres arts, comme la peinture, la sculpture, l’écriture ou la poésie qui traduisent, soit avec des couleurs, des formes ou les mots, les beautés du monde, la musique s’adresse directement à nous, à nos émotions sans intermédiaires autres que les instruments.
Victor Hugo disait : « La musique, c’est du bruit qui pense ». Pablo Cassals affirmait : « La musique chasse la haine chez ceux qui sont sans amour. Elle donne la paix à ceux qui sont sans repos, elle console ceux qui pleurent.»
Permettre à un enfant d’apprendre la musique, à toucher d’un instrument, c’est lui ouvrir toutes grandes les portes d’un meilleur avenir. Il ne s’agit pas de «comptabiliser » l’intangible. Il s’agit de constater à quel point l’apprentissage de la musique donne des atouts réels à un être en formation pour qu’il devienne un meilleur adulte.
Tel est le mandat et le credo de la Fondation Droit au Talent, on organisme à but non lucratif qui œuvre dans des écoles de Laval au nord de Montréal.
Frédéric Cardin en est le vice-président, il est l’invité au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
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