Sans violence pour elles est un projet social qui a vu le jour chez des étudiants en techniques policières au CECEP de l’Outaouais dans l’ouest du Québec.
Trop souvent passée sous le tapis, la violence conjugale est toujours et encore une sombre réalité sociale.
« En tant que futurs policiers et policières, nous voulons contribuer à la diminution du nombre de cas de violence conjugale dans notre région du Québec »
Alexandre Tessier, porte-parole du projet Sans violence pour elles
Elles et ils sont sept, toutes et tous étudiants en techniques policières. Ils ont organisé une campagne de financement au profit de sept maisons d’aide et d’hébergement pour femmes violentées en Outaouais, notamment par une journée de marche et de course à pied à laquelle ont participé 200 personnes.
L’édition 2014 de Sans violence pour elles a réussi à amasser plus de 13 000$; l’édition 2014 est déjà en cours de préparation.
Mais, surtout, ce sont des consciences qui sont touchées.
Alexandre Tessier, porte-parole du projet Sans violence pour elles est l’invité au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
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