Pour tout investisseur en Bourse, il est essentiel de pouvoir évaluer le travail de son courtier, de son conseiller. Dans la même foulée, le courtier et le conseiller dépendent de la performance et de la fluidité des logiciels à sa disposition pour, d’une part, être bien au fait du marché dans lequel il évolue et, d’autre part, de bien conseiller son client.
Dans ce créneau très pointu des technologies informatiques boursières, une PME québécoise, Croesus, se démarque.
Née dans la tête d’un jeune ingénieur physique il y a 27 ans pour répondre à un besoin d’un conseiller financier qui voulait pouvoir gérer ses comptes clients à partir de son micro-ordinateur (souvenez-vous sur quel appareil vous travailliez à l’époque), Croesus aujourd’hui, c’est plus de 10 000 utilisateurs, courtiers et conseillers parmi les plus importants dans les grandes firmes de courtage à Toronto et à Montréal, des gestionnaires de comptes qui, avec les logiciels Croesus, gèrent des actifs de plus de 500 milliards de dollars.
À eux seuls, nos cinq plus gros clients comptent pour la moitié environ du marché de l’actif investi en Bourse qui est géré par des courtiers au Canada.
Rémy Therrien, président et fondateur de Croesus
Et, la passion et la passion aidant, Croesus veut atteindre les 1 000 milliards d’ici quatre ou cinq ans.
Portrait de ce modèle de PME technologique à succès, Rémy Therrien, président et fondateur de Croesus est l’invité au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
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