À ce jour, en quarante ans de vie littéraire, Paul Ohl a écrit neuf romans, quatre essais et deux récits biographiques en plus de signer des scénarios de longs métrages.
Nous l’avions reçu lors de la parution de sa biographie, adaptée au cinéma, Louis Cyr, l’homme le plus fort du monde.
Les fantômes de la Sierra Maestra est sa quinzième œuvre littéraire et c’est une fresque de plus de 700 pages où se côtoient Ernest Hemmigway, Fidel Castro, Ernesto « Che » Guevarra et Jean-Paul Sartre, au cœur d’une décennie charnière de l’histoire de Cuba, 1949 – 1959.
Cuba qui avait connu la domination espagnole jusqu’à son indépendance pour passer immédiatement sous la tutelle des États-Unis, États-Unis qui ont encore aujourd’hui une base militaire sur l’Île, Guantanamo.
La révolution cubaine est un événement majeur de l’histoire du XXe siècle.
C’est une sacrée aventure que cette décennie-là
Paul Ohl
Bien que les dernières semaines de 2014 nous permettent d’espérer voir une embellie potentielle, quoique très fragile, entre les États-Unis et Cuba, le souffle de cette révolution et les fantômes de la chaîne de montagne qui domine Cuba, la Sierra Maestra, sont encore au cœur de la définition même de Cuba.
Les fantômes de la Maestra de Paul Ohl, vient de paraître chez Libre Expression.
Paul Ohl est l’invité au micro de Raymond Desmarteau.Écoutez
Les musiques et les chansons de ce reportage sont tirées du disque double « Pablo Querido »
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