2014 a été une année record pour les membres de la SOCAN (la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), un organisme à but non lucratif.
C’est 299 millions de dollars qu’ont reçu les créateurs d’ici, une somme qui provient de l’exécution de leurs œuvres que ce soit au pays, à l’étranger ou en privé.
On parle ici de revenus ayant comme source des prestations en spectacles, à la radio, à la télé, incluant aussi les ventes sur le web.
De ces revenus, 55 millions proviennent de l’international. Une proportion en constante progression malgré le fait que de plus en plus de gens se procurent de façon illégale et gratuite de la musique et des chansons originales sur le web.
Maryse Jobin a demandé au chef de direction de la SOCAN, Eric Baptiste, de nous expliquer les succès des auteurs-compositeurs canadiens et ce qui est fait pour contrer le « marché noir » de la musique.
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Parcours de carrière pour Eric Baptiste qui a déjà dirigé RFI
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