Toute jeune fille au Sénégal, Lydie Olga Ntap grandissait dans un univers … québécois.
De fait, la jeune fille a entamé ses études primaires auprès d’institutrices canadiennes françaises (on disait peu « québécoises » à cette époque pas si lointaine).
« J’ai même commencé à giguer (dans traditionnelle québécoise) en Afrique», affirme-t-elle dans un grand éclat de rire.
Cette femme de tête, mère, épouse, femme d’affaires a grandi dans une famille très portée sur les causes féministes.
Une de ses tantes a même créé le premier Musée de la Femme en Afrique.
À son arrivée au Canada, la jeune Lydie Olga est confrontée à des réalités diverses de la condition féminine.
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